Abbaye Notre-Dame de Clairvaux
Personne
"Abbaye Notre-Dame de Clairvaux" dans la base Coenotur (permalink : https://bibale.irht.cnrs.fr/Coenotur.php/889). Consultation du 22/11/2024.
Personne morale / Institution
Clairvaux, Notre-Dame, abbaye O.Cist. (H)
Abbaye Notre-Dame de Clairvaux
Abbaye de Clairvaux (Aube)
Abbaye Notre-Dame de Clairvaux
Clara vallis
Clara uallis
Abbaye de Clairvaux
Clairvaux
Vallis absinthialis
Abbaye de Clervaux
Clairvaux, Abbaye Notre-Dame de
Abbaye de Cisterciens (Ville-sous-la-Ferté, Aube ; Clairvaux / 1115-1792)
Notre-Dame
1115
(Abbaye fondée par Hugues, comte de Champagne.)
1792
1789
1790
Homme(s)
1115 - 1789
Abbaye, quatrième fille de Cîteaux, fondée en 1115 par saint Bernard de Clairvaux, qui y mourut en 1153. De 1118 à 1218 l'abbaye de Clairvaux fonda 309 monastères, elle aboutit au XVIe siècle à 531 fondations. Elle comptait 700 religieux dès 1153, 350 en 1515, et 36 en 1790. Fermée en 1792, et convertie en centre de détention
Clairvaux, Notre-Dame, abbaye O. Cist. (H)
BMF - Bibliothèques médiévales de France
Abbaye cistercienne, troisième fille de Cîteaux, fondée en 1115 par saint Bernard « sans livres » selon A. Wilmart au regard du nombre très limité de volumes
antérieurs au 12e siècle. C'est faire peu de cas des statuts de l'Ordre qui
stipulent, peut-être seulement vers 1151 mais en codifiant une longue
pratique, que toute fondation nouvelle doit posséder les livres liturgiques et
la Règle. Quoi qu'il en soit, c'est seulement au lendemain de la reconstruction
de l'abbaye sur un site plus favorable, vers 1135, qu'il est fait état des
livres, du travail de la copie et des échanges de mss. qui l'alimentaient. La
bibliothèque apparaît plus tard à la faveur de la rédaction d'un catalogue à la fin du 12e siècle. On estime
communément que la bibliothèque comptait environ 350 volumes. Importante pour
l'époque, cette bibliothèque était partagée entre l'armarium de la galerie est du cloître et la chambre du
secrétaire de saint Bernard sous l'escalier droit menant au dortoir de l'église.
L'afflux des dons et legs et la création du collège Saint-Bernard en 1246, qui eut pour conséquence de
faciliter l'insertion de Clairvaux dans la culture universitaire et son accès
au marché parisien du livre, contribuent à son expansion rapide jusqu'au milieu
du 14e siècle. Ainsi s'explique
l'ampleur exceptionnelle de la rubrique des libri speculative theologie dans l'inventaire
de 1472,
dont « ses 144 volumes offrent un véritable miroir de l'évolution des problèmes
et des doctrines à Paris et à Oxford, du milieu du 13e au milieu du
14e siècle » selon J.-F. Genest. Aucun auteur de cette rubrique
n'est cependant postérieur à Pierre de Ceffons (milieu du 14e siècle), ce qui
atteste de la stagnation du fonds et/ou de son conservatisme doctrinal. De
sorte qu'il convient de remettre en perspective l'inventaire de 1472 qui «
apparaît plutôt comme le signe d'un renouveau d'intérêt après un long sommeil,
et comme le point de départ d'un nouvel essor » de la bibliothèque
claravallienne. Il recense la teneur de près de 1800 livres manuscrits et,
outre la bibliothèque du cloître, il précise l'usage et les dépôts de certains
livres : livres pour le
réfectoire, pour l'infirmerie ou
la novicerie, pour l'église, à l'usage de l'abbé et du chantre, pour la
porterie, etc.
Clairvaux a su brillamment s'adapter à l'introduction de l'imprimé. Ainsi la
plupart des 400 incunables furent acquis dans les années qui suivirent
immédiatement leur parution. Pour faire face à ce nouvel afflux de livres,
Pierre de Virey entreprit en 1495 la construction d'une seconde bibliothèque
achevée en 1503 sous l'abbatiat de Jean Foucaud. Située au nord du petit
cloître, au-dessus des anciennes cellules des copistes, elle apparaît sous le nom
de magna libraria dans les sources
des années 1520. La « neufve
librairerie » est constituée de « quarant huict banctz, et en chacun
banc quatre poulpitres fournys de livres de touttes sciences, et
principallement en théologie »
d'après la relation d'une visite que la reine de Sicile fit à Clairvaux le 15
juillet 1517. « Du simple point
de vue architectural », écrit
J.-F. Genest, « c'était un bâtiment remarquable, décoré dans le style
flamboyant et pourvu d'un escalier hexagonal à claire-voie. L'intérieur était
meublé de 48 pupitres à double face, auxquels les livres étaient
enchaînés ». Et l'auteur de conclure :
« la bibliothèque monastique a
cessé d'être un simple magasin à livres pour devenir enfin une salle de travail ». L'ancienne bibliothèque n'était
pas désaffectée pour autant. Enfin, il existait dans la salle des archives,
située au-dessus du grand cloître et jouxtant le dortoir (d'où elle tire son
nom de parva bibliotheca dormitorii),
un fonds de livres scolaires. Vers 1522, il y avait au moins 1650 volumes dans
la grande bibliothèque et 900 dans la collection du dortoir. Dans les deux cas,
la proportion des imprimés reste incertaine. La vieille librairie du cloître
abritait de surcroît quelque 650 mss. Le nombre total des volumes, tous fonds
réunis, peut être estimé à 3200. À cette arrivée massive des imprimés a
correspondu un renouvellement intellectuel profond, marqué en particulier par
la part considérable qui incombe à la culture classique et à l'humanisme.
Prisées des érudits, il n'est pas rare cependant que ces richesses soient
citées de seconde main, comme dans le cas de Charles de Visch (1596-1666),
Jacques Lelong (1665-1721) et Philibert Papillon (1666-1738). À la suite de
l'acquisition de la collection Bouhier (1782), l'abbé François Le Blois et son
coadjuteur Louis-Marie Rocourt décidèrent de construire une troisième
bibliothèque, achevée en 1788. La magna libraria (dite dorénavant « l'ancienne bibliothèque »)
continua cependant à renfermer l'essentiel des mss. conservés dans l'abbaye.
Pendant la Révolution, à peine le catalogue des deux commissaires
bibliographes fut-il achevé et transmis au Conseil de conservation des objets
de sciences et d'arts à Paris en 1795 et le différend entre le district de
Bar-sur-Aube et le chef-lieu de département Troyes au sujet de l'implantation
de la collection fut-il tranché, la
même année, par l'administration
centrale de l'Aube, que l'essentiel
de la bibliothèque claravallienne fut transféré dans l'ancienne abbaye
Saint-Loup à Troyes, avant d'enrichir d'abord la bibliothèque de l'École
centrale du département, ensuite la Bibliothèque municipale et enfin la
Médiathèque du Grand Troyes.
Carnandet, 1857 : Carnandet
(Jules), « Bibliothèques de deux chanoines de Langres au XIVe siècle », dans Bulletin du bibliophile, 13, 1857, p . 464-477 (notamment, p. 465-466, sur Jean Foucaud et la construction de la
seconde bibliothèque) ;
Wilmart, 1917 : Wilmart (André), L'ancienne bibliothèque de
Clairvaux, dans Mémoires de la Société académique de l'Aube, 81, 1917, p. 127-190, et
à part Troyes, 1917, p. 32-50
(réimpr. dans Collectanea ordinis cisterciensium reformatorum, 11, 1949, p.
101-127 et 301-319 [avec une numérotation différente pour les notes]) ;
Ronsin, 1971 : Ronsin
(Albert), La bibliothèque Bouhier. Histoire d'une collection formée du XVIe
au XVIIIe siècle par une famille de magistrats bourguignons, Dijon, 1971, en part. p. 136-139 et p. 139 sq. ;
Bibolet, 1976 : Bibolet (Françoise),
« La Bibliothèque municipale de
Troyes », dans Revue
française d'histoire du livre, n. s.
12, 1976, pp. 278-282, 285 et 289 ;
Clairvaux,
1979, p. 12-62 ;
Bondéelle, 1991, p. 91-92 ;
Genest, 1991 : Genest (Jean-François), « La bibliothèque de Clairvaux de saint
Bernard à l'humanisme », dans Histoire
de Clairvaux. Actes du Colloque de
Bar-sur-Aube/Clairvaux, 22 et 23 juin 1990, Bar-sur-Aube, 1991, p. 113-133.
GF (janvier 2010)
Consulter les notices du Répertoire BMF : Clairvaux - 12e siècle.Clairvaux - 1337.Jacobus de Audelencuria - 1351Jacobus de Audelencuria - 1359.
Clairvaux - 1405. Clairvaux -
1471-1472 au plus tard.Clairvaux - 1472
(a).Clairvaux - 1472
(b).Clairvaux - vers 1520.
Clairvaux - vers 1521.Clairvaux - 1640
au plus tard.
Clairvaux - vers 1650.
Clairvaux - 17e
siècle (milieu).
Clairvaux - 1664.Clairvaux - 17e
siècle.Clairvaux - 1709.
Clairvaux - 1722. Clairvaux - 1730.
Clairvaux - 1734.
Clairvaux - 1744
à 1749.
Clairvaux - entre
1790 et 1795. Clairvaux - 1804
(a).
Clairvaux - 1804
(b).
antérieurs au 12e siècle. C'est faire peu de cas des statuts de l'Ordre qui
stipulent, peut-être seulement vers 1151 mais en codifiant une longue
pratique, que toute fondation nouvelle doit posséder les livres liturgiques et
la Règle. Quoi qu'il en soit, c'est seulement au lendemain de la reconstruction
de l'abbaye sur un site plus favorable, vers 1135, qu'il est fait état des
livres, du travail de la copie et des échanges de mss. qui l'alimentaient. La
bibliothèque apparaît plus tard à la faveur de la rédaction d'un catalogue à la fin du 12e siècle. On estime
communément que la bibliothèque comptait environ 350 volumes. Importante pour
l'époque, cette bibliothèque était partagée entre l'armarium de la galerie est du cloître et la chambre du
secrétaire de saint Bernard sous l'escalier droit menant au dortoir de l'église.
L'afflux des dons et legs et la création du collège Saint-Bernard en 1246, qui eut pour conséquence de
faciliter l'insertion de Clairvaux dans la culture universitaire et son accès
au marché parisien du livre, contribuent à son expansion rapide jusqu'au milieu
du 14e siècle. Ainsi s'explique
l'ampleur exceptionnelle de la rubrique des libri speculative theologie dans l'inventaire
de 1472,
dont « ses 144 volumes offrent un véritable miroir de l'évolution des problèmes
et des doctrines à Paris et à Oxford, du milieu du 13e au milieu du
14e siècle » selon J.-F. Genest. Aucun auteur de cette rubrique
n'est cependant postérieur à Pierre de Ceffons (milieu du 14e siècle), ce qui
atteste de la stagnation du fonds et/ou de son conservatisme doctrinal. De
sorte qu'il convient de remettre en perspective l'inventaire de 1472 qui «
apparaît plutôt comme le signe d'un renouveau d'intérêt après un long sommeil,
et comme le point de départ d'un nouvel essor » de la bibliothèque
claravallienne. Il recense la teneur de près de 1800 livres manuscrits et,
outre la bibliothèque du cloître, il précise l'usage et les dépôts de certains
livres : livres pour le
réfectoire, pour l'infirmerie ou
la novicerie, pour l'église, à l'usage de l'abbé et du chantre, pour la
porterie, etc.
Clairvaux a su brillamment s'adapter à l'introduction de l'imprimé. Ainsi la
plupart des 400 incunables furent acquis dans les années qui suivirent
immédiatement leur parution. Pour faire face à ce nouvel afflux de livres,
Pierre de Virey entreprit en 1495 la construction d'une seconde bibliothèque
achevée en 1503 sous l'abbatiat de Jean Foucaud. Située au nord du petit
cloître, au-dessus des anciennes cellules des copistes, elle apparaît sous le nom
de magna libraria dans les sources
des années 1520. La « neufve
librairerie » est constituée de « quarant huict banctz, et en chacun
banc quatre poulpitres fournys de livres de touttes sciences, et
principallement en théologie »
d'après la relation d'une visite que la reine de Sicile fit à Clairvaux le 15
juillet 1517. « Du simple point
de vue architectural », écrit
J.-F. Genest, « c'était un bâtiment remarquable, décoré dans le style
flamboyant et pourvu d'un escalier hexagonal à claire-voie. L'intérieur était
meublé de 48 pupitres à double face, auxquels les livres étaient
enchaînés ». Et l'auteur de conclure :
« la bibliothèque monastique a
cessé d'être un simple magasin à livres pour devenir enfin une salle de travail ». L'ancienne bibliothèque n'était
pas désaffectée pour autant. Enfin, il existait dans la salle des archives,
située au-dessus du grand cloître et jouxtant le dortoir (d'où elle tire son
nom de parva bibliotheca dormitorii),
un fonds de livres scolaires. Vers 1522, il y avait au moins 1650 volumes dans
la grande bibliothèque et 900 dans la collection du dortoir. Dans les deux cas,
la proportion des imprimés reste incertaine. La vieille librairie du cloître
abritait de surcroît quelque 650 mss. Le nombre total des volumes, tous fonds
réunis, peut être estimé à 3200. À cette arrivée massive des imprimés a
correspondu un renouvellement intellectuel profond, marqué en particulier par
la part considérable qui incombe à la culture classique et à l'humanisme.
Prisées des érudits, il n'est pas rare cependant que ces richesses soient
citées de seconde main, comme dans le cas de Charles de Visch (1596-1666),
Jacques Lelong (1665-1721) et Philibert Papillon (1666-1738). À la suite de
l'acquisition de la collection Bouhier (1782), l'abbé François Le Blois et son
coadjuteur Louis-Marie Rocourt décidèrent de construire une troisième
bibliothèque, achevée en 1788. La magna libraria (dite dorénavant « l'ancienne bibliothèque »)
continua cependant à renfermer l'essentiel des mss. conservés dans l'abbaye.
Pendant la Révolution, à peine le catalogue des deux commissaires
bibliographes fut-il achevé et transmis au Conseil de conservation des objets
de sciences et d'arts à Paris en 1795 et le différend entre le district de
Bar-sur-Aube et le chef-lieu de département Troyes au sujet de l'implantation
de la collection fut-il tranché, la
même année, par l'administration
centrale de l'Aube, que l'essentiel
de la bibliothèque claravallienne fut transféré dans l'ancienne abbaye
Saint-Loup à Troyes, avant d'enrichir d'abord la bibliothèque de l'École
centrale du département, ensuite la Bibliothèque municipale et enfin la
Médiathèque du Grand Troyes.
Carnandet, 1857 : Carnandet
(Jules), « Bibliothèques de deux chanoines de Langres au XIVe siècle », dans Bulletin du bibliophile, 13, 1857, p . 464-477 (notamment, p. 465-466, sur Jean Foucaud et la construction de la
seconde bibliothèque) ;
Wilmart, 1917 : Wilmart (André), L'ancienne bibliothèque de
Clairvaux, dans Mémoires de la Société académique de l'Aube, 81, 1917, p. 127-190, et
à part Troyes, 1917, p. 32-50
(réimpr. dans Collectanea ordinis cisterciensium reformatorum, 11, 1949, p.
101-127 et 301-319 [avec une numérotation différente pour les notes]) ;
Ronsin, 1971 : Ronsin
(Albert), La bibliothèque Bouhier. Histoire d'une collection formée du XVIe
au XVIIIe siècle par une famille de magistrats bourguignons, Dijon, 1971, en part. p. 136-139 et p. 139 sq. ;
Bibolet, 1976 : Bibolet (Françoise),
« La Bibliothèque municipale de
Troyes », dans Revue
française d'histoire du livre, n. s.
12, 1976, pp. 278-282, 285 et 289 ;
Clairvaux,
1979, p. 12-62 ;
Bondéelle, 1991, p. 91-92 ;
Genest, 1991 : Genest (Jean-François), « La bibliothèque de Clairvaux de saint
Bernard à l'humanisme », dans Histoire
de Clairvaux. Actes du Colloque de
Bar-sur-Aube/Clairvaux, 22 et 23 juin 1990, Bar-sur-Aube, 1991, p. 113-133.
GF (janvier 2010)
Consulter les notices du Répertoire BMF : Clairvaux - 12e siècle.Clairvaux - 1337.Jacobus de Audelencuria - 1351Jacobus de Audelencuria - 1359.
Clairvaux - 1405. Clairvaux -
1471-1472 au plus tard.Clairvaux - 1472
(a).Clairvaux - 1472
(b).Clairvaux - vers 1520.
Clairvaux - vers 1521.Clairvaux - 1640
au plus tard.
Clairvaux - vers 1650.
Clairvaux - 17e
siècle (milieu).
Clairvaux - 1664.Clairvaux - 17e
siècle.Clairvaux - 1709.
Clairvaux - 1722. Clairvaux - 1730.
Clairvaux - 1734.
Clairvaux - 1744
à 1749.
Clairvaux - entre
1790 et 1795. Clairvaux - 1804
(a).
Clairvaux - 1804
(b).
799-800
1115 - 1789
André Vernet et Jean-François Genest, La Bibliothèque de l’abbaye de Clairvaux du XIIe au XVIIIe siècle, Vol. 1: Catalogues et répertoires, Paris, 1979
Clairvaux, Notre-Dame, abbaye O.Cist. (H)
Personne
Type | Notice | Date | Lieu | Commentaire | |
---|---|---|---|---|---|
|
a pour membre
|
Lambertus Uppenbrouck (mort 1354) | avant 1318/03/31 | ||
|
est dirigé(e) par
|
Bouchu, Pierre (abbé de Clairvaux, † 1718) | 1676 - 1718 | ||
|
est dirigé(e) par
|
Gerardus Clarae Vallis (+ 1177) | |||
|
est dirigé(e) par
|
Pierre de Virey (1425-1506) | 1471 - 1496 | Ville-sous-la-Ferté, Champagne-Ardenne, France |
Pierre de Virey est élu 39e abbé de Clai[...]
|
|
est le lieu de profession de
|
Nicolaus Claraevallensis (+ 1178) | Ville-sous-la-Ferté, Grand Est, France | ||
|
est le père, la mère de
|
Abbaye Notre-Dame (Longpont, Aisne) | 1131 - 1132 | ||
|
est le père, la mère de
|
Cambron-Casteau, Notre-Dame, abbaye O.Cist. (1148-1789) | |||
|
est le père, la mère de
|
Cherlieu, Notre-Dame, abbaye O.Cist. (H) | 1131 |
Sous l'égide de Guy de Durnes, des moine[...]
|
|
|
est le père, la mère de
|
Villers-la-Ville, Notre-Dame, abbaye O.Cist. (H) |
Collection
Type | Notice | Date | Lieu | Commentaire | |
---|---|---|---|---|---|
a possédé
|
Bibliothèque de l'abbaye de Clairvaux | Ville-sous-la-Ferté, Champagne-Ardenne, France |
Livre (exemplaire)
Provenance
Source
Type | Notice | Date | Lieu | Commentaire | |
---|---|---|---|---|---|
|
est mentionné(e) par
|
Guigue, Obituarium Lugdunensis ecclesiae, 1867, p. 209 et ss. (Testament de Robert d'Auvergne) | |||
|
est mentionné(e) par
|
Troyes, AD, H (003) 0010, p. 235 (extrait d'une charte du cartulaire de Clairvaux) |
Elise Herbeaux (17/09/2012 10:12)
Import BMF (26/09/2024 13:19)