Il légua sa bibliothèque, riche de huit mille volumes, à l'Abbaye de Saint-Victor à Paris avec une rente pour l'entretien du bibliothécaire et de la bibliothèque sous réserve que celle-ci soit rendue publique et que les religieux de Saint Victor fassent frapper ses armes sur les volumes qui lui avaient appartenu et qui ne les portaient pas déjà ainsi que sur tous ceux qui seraient achetés avec les fonds qu'il laissait, mais les religieux se contentèrent de faire frapper ses armoiries sur de petits carrés de cuir afin de les appliquer aux dos des ouvrages concernés. (
https://numelyo.bm-lyon.fr/f_view/BML:BML_06PRV001020057)