Charles II d'Anjou rachète aux franciscains Pierre Scarrier et François Brun les livres que leur avait légués son fils Louis, évêque de Toulouse, pour les attribuer aux dominicains de Saint-Maximin. Le nombre et le titre des ouvrages ne sont pas précisés. La transaction est faite par l'intermédiaire de Mancipus, juif d'Aix, notamment péager de Digne.
1299/03/16
(nouveau style ; document daté de "anno Domini 1498, die 16° martii")
1299, 16 mars (n.s., document daté de "anno Domini 1498, die 16° martii")
Marseille, AD des Bouches-du-Rhône, B 136, f. 156v.
Christine Gadrat, 2008 (revu par Martin Morard, 2010 et 2013)
Albanes (Joseph Hyacinthe), Le couvent royal de Saint-Maximin en Provence, Marseille, 1880, documents inédits p. 8-9, n° V (lire l'édition sur Gallica); Laurent (Marie-Hyacinthe), "La bibliothèque du couvent de Saint-Maximin : quelques notes sur une période de son histoire (1299-1631)", dans AFP, t. 1, 1931, p. 350-366 (p. 364-365).